schizophasia

De la schizothymie à la schizophasie

Mercredi 14 septembre 2011 à 21:16

Egarés et hagards, un autre dirait "par hasard et pas rasé", à quoi bon sonner, toujours, la tempête emportera ce qu'il reste du langage.
Les débris et les vestiges, flottants vivants sur le fleuve asséché, dans la boue, non-sens, ou alors : question de point de vue.
Tester les vapeurs du soir, à défaut de trouver dans l'armoire de maman ce qu'il faut pour aviver les cellules, dans le bar de papa ce qu'il faut pour les détruire. Il s'avère que le bar appartient aux deux, depuis des années déjà, au-delà des clichés, donner sens à la réalité. Ou l'enfouir à jamais.

Interdit face au renouveau des âmes, un bout de toile, privé de ses pinceaux. Les chiens crient toujours mais je ne les entends plus, pas pour le moment.

A quoi bon faire sonner les mots ? 
Par Shinzo le Lundi 7 novembre 2011 à 13:03
Yah o_o merci pour ton commentaire ! Au-delà de sa gentillesse, il m'a permis de découvrir ton blog, et je trouve tes mots des plus claquants ! J'y lis ce que j'aurais aimé pouvoir écrire, et je tombe, béate, dans un état de fascination. Je vais te suivre de près. J'aime la sonorité de ce que tu écris !
 

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